Sur les terrains de Montréal et au Québec en général, on peut parfois retrouver un nombre considérable de mauvais herbes exigeant un traitement spécialisé du gazon : oxalide de dillénius, lierre terrestre ou rampant, pissenlit, digitaire, fétuque élevée, pourpier, coqueret, chardon, pissenlit, céraiste vulgaire, trèfle blanc, herbe à puce, plantain, camomille des chiens, chiendent. Dans la nature ou dans la forêt, ses plantes ne sont pas nuisible mais sont considéré non-désirables sur vos terrains. Si l’une ou l’autre de ses « plantes » se retrouvent sur le terrain de votre propriété de Montréal un traitement par Vert-et-Blanc est nécessaire.

À la grande surprise de beaucoup de Québécoises et Québécois, les mauvaises herbes peuvent parfois jouer un rôle positif : couverture contre l’érosion, ajout de matières organique dans le sol et productions d’oxygène. Mais lorsqu’elles sont non souhaitées ou nuisible pour la santé de votre terrain, un traitement de la pelouse doit immédiatement être considéré. En effet, la présence de certaines plantes peut entrer en compétition avec des plantes cultivés ou réduit le rendement d’une culture.

Les mauvaises herbes sont généralement classées en deux catégories :